• Domaine :

  Eau

• Région :

  Asie

• Pays :

  Inde

Le projet :

Dans le villages de Dhulipalla, en Inde, installation d'un sytème de purification d'eau et du bâtiment qui l'abrite. Aussi, dans les trois villages de Lakshman Nayak Tanda, Peddapalli, et de Nandigama également en Inde, forage de trois puits surmontés par des pompes manuelles de marque India #2.
Ces installations, d’un coût total de $16,800.00, fourniront l'eau potable à plus de 1 825 bénéficiaires.

La demande:

De: Janice Aubry, SOPAR
À:   Fondation Coup de Cœur

M. Gagnon et Mme Lahmami,

C’est avec joie que je vous écris aujourd’hui car j’amène de bonnes nouvelles! La générosité de M. Claude Lapointe a porté fruits: 4 projets complétés, 4 villages bénéficiaires et 1 825 nouvelles personnes aidées!!
On entend souvent la phrase: «l’eau c’est la vie». Eh bien, elle ne pourrait être plus vraie en temps de pandémie! Un accès facile à l’eau permet en effet aux gens de se laver les mains plus régulièrement, d’avoir une meilleure hygiène et une meilleure santé. Comme vous le dites si bien, l’accès à l’eau, c’est un investissement! C’est le premier pas pour permettre aux communautés pauvres de se prendre en main.
Le village de Lakshman Nayak Tanda, village qui a récemment bénéficié de la construction d’un puits grâce à votre générosité et celle de M. Claude Lapointe, est un bel exemple de tout cela. Les habitants de ce village proviennent majoritairement d’une tribu de très basse caste. Laissés à leur sort, ce village et les villages environnants souffrent d’une grande pauvreté. Un regroupement de femmes s’est mobilisé au cours de la dernière année pour faire valoir l’importance d’avoir un puits à proximité de leur village. Elles ont enjoint le maire du village de faciliter l’accès à l’eau ce dernier a ensuite contacté notre partenaire en Inde.
Voici le témoignage de l’une de ces femmes:
« J’ai deux enfants. Je fais de mon mieux pour qu’ils soient en santé mais nos conditions de vie sont difficiles. Je passe une bonne partie de mes journées à marcher pour trouver de l’eau. Ma petite fille de 6 ans vient maintenant avec moi pour m’aider mais j’aimerais mieux qu’elle puisse aller à l’école comme son frère. On nous dit qu’il faut aller à l’école pour sortir de la pauvreté. Mais comment faire quand nous n’arrivons même pas à boire et à manger convenablement chaque jour? »

Au nom des villageois bénéficiaires des projets de M. Lapointe et de FCC, je vous dis: Merci, du fond du cœur!

Soyez assurés de toute notre reconnaissance et notre gratitude.

Sincèrement,

Janice Aubry
Gestionnaire de programmes
SOPAR


Montage Financier: